J'arrive mais si tu me presses tu auras pas les réponses que tu attends
tant pis !
brouillon, go !
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Pour cette étude nous occulterons les techniques actuelles de la photographie, qui influent sur la qualité de l'image et donc sur la perception que nous en avons, il convient donc plutôt de s'interroger non pas sur les différences de qualités des gaines de myéline entourant les nerfs optiques des différents individus dont on admettra (certes par approximation mais dans un soucis de clarté de rédaction) que l'acuité visuelle est équivalente, mais plutôt sur la perception que nous avons de nous même.
Il conviendra donc de traiter notre rapport à l'image et notre rapport à nous même qui nous informerons sur l'image que nous nous faisons de nous même et sa transposition sur un support qui à pour vocation de nous représenter, tel que l'on ne se voit pas le plus souvent. (de fait on ne passe pas sa journée devant des miroirs...)
Aussi l'image étant figée elle fait appel à un rapport au temps, en un instant précis nous sommes capturés et immortalisés, cela nous met face à notre condition mortelle, éphémère, presque plus encore que le support sur lequel nous apparaissons...
Aussi on peut aisément comprendre l'angoisse, l'incompréhension, de certains face à une photo qui leur évoque la laideur, la mort, ou tout autre chose qui leur est tout autant étranger.
Le rapport à l'image, la représentation, ... nous pourrion même dire les représentations mais nous nous inscririons dans un registre religieux, aussi passerons nous vite sur cette question de la représentation.
Lorsque l'on s'apparait à soi-même (formule de Descartes Lanowa...),
on s'apparait confronté à toute les représentations.
D'une part celle que l'on a du monde, de l'univers tout entier, d'autre part celle que l'on a de nous même.
Cette confrontation peut faire l'objet d'une certaine forme de rejet plus ou moins prononcée par notre inconscient, elle atteste simplement de l'acceptation que l'on a de la perception que tout autre pourrait avoir de soi.
Dans le rapport que l'on a à soi-même, s'il n'y a plus une reconnaissance parfaite, elle peut donc être considérée comme subjective et fausée par nos perceptions. Nos sens peuvent nous tromper parfois. (encore Descartes... )
Il appartient donc à chacun de décider, non pas si l'on ressemble à notre photo d'identité mais plutôt si elle nous ressemble.
En d'autre terme jusqu'où acceptons nous d'être figé à travers le temps en une vision unilatérale de nous même ou non.
C'est pour cela qu'on ne fait pas qu'une photo, qu'on en fait tout au long de sa vie, que l'on parle de belles photos, de photos réussites ou non.
Jusqu'à quel point finalement accepte-on d'être vu par les autres tel que nous sommes...
Mortel, plein de défauts, de travers ...
Aussi peut-on affirmer que d'un point de vue purement objectif nous ressemblons à notre photo d'identité. (autant que les techniques modernes nous le permette bien entendu...)
D'un point de vue subjectif, et je dirais même personnel, car il incombe à chacun d'en juger par lui même, c'est une acceptation raisonnée, intellectualisée de l'image que l'on veut renvoyer de soi-même que l'on se rapprochera le plus de sa photo d'identité...
Autrement dit... non, on y ressemblera jamais. ^^' Jamais parfaitement en tout cas, car on change en chaque instant ! Une fois la photo prise, tout les mouvements qui s'opèrent en chacun de nous nous rendent mille fois différents...
La suite très bientôt (quand j'aurais le temps quoi)
C'est un brouillon, je ne me suis pas relu, bisous à tous.
Désolé Lanowa le 2-, pas pour tout de suite ^^ j'ai du pain sur la planche